L’importance de poser des questions à votre recruteur !

Un recruteur finit souvent un entretien d’embauche par : « Avez-vous des questions ? » –> Votre réponse doit systématiquement être OUI Il n’est pas envisageable de ne pas avoir de questions, cela démontrerait de votre part un réel manque d’intérêt pour le poste et/ ou la société.

DONC :

Soyez proactifs et préparez systématiquement des questions en entretien à votre recruteur !! (Gardez les près de vous pendant l’entretien)

Pour des exemples de questions à poser : relisez mon post  du 17 fevrier 2021 ET l’excellent article ci-dessous

5 questions originales à poser au recruteur en fin d’entretien – RegionsJob

24 mars 2021 – Lydia Zunino

Petit focus sur le langage corporel : ce qui déplait aux recruteurs

Le manque de contact visuel (50 % des employeurs)

Une mauvaise position (47 %)

L’absence de sourire (42 %)

Note speciale Covid et masque (!) : on peut sourire derrière un masque, cela se traduit automatiquement dans votre regard !

Gigoter sur sa chaise (35 %)

Jouer avec quelque chose sur la table (31 %)

Croiser les bras sur son torse : (26 %)

Jouer avec ses cheveux ou se toucher le visage ( 24 %)

Une poignée de main faible ou trop puissante : (21 %)

Faire trop de gestes des mains (13 %)

RECOMMANDATIONS

  1. Le regard

Ce qu’il ne faut pas faire : regarder le sol (manque de confiance en soi) ; éviter le regard du recruteur (interprété comme de la timidité, voire de la fausseté) ; regarder la personne qui vous fait face entre les deux yeux ou derrière lui (dénoterait un sentiment de supériorité, du mépris, une volonté de déstabiliser « l’adversaire »).

Ce qu’il faut faire : regarder son/ ses interlocuteur(s) sans le(s) fixer en y faisant passer un comportement positif : regard sérieux, souriant, etc

.2. Les bras et les jambes,

Ne croisez ni les bras, ni les jambes (interprété comme une attitude de protection : vous pourriez apparaître comme un individu en retrait ou hostile.

  1. Les mains

Ne tortillez pas une mèche de cheveux, ne placez pas votre main devant votre bouche, ne grattez pas votre nez, ne rongez pas vos ongles, ne jouez pas avec votre stylo… Vos gestes doivent accompagner votre propos, au service du verbe, ou rester bien sagement sur la table ou sur vos genoux.

  1. La posture générale

Tenez-vous bien droit, sans raideur, face au recruteur

2 mars 2021 – Lydia Zunino

Petit insight des préparations réalisées à l’Institut Supérieur du Droit avec Rocxy Mongbo qui a un entretien pour un poste de juriste expert droit des affaires / droit social chez la FEPEM

Petit insight des préparations réalisées à l’Institut Supérieur du Droit avec Rocxy Mongbo qui a un entretien pour un poste de juriste expert droit des affaires / droit social chez la FEPEM (voir PJ) et qui a eu la gentillesse d’accepter de partager ce moment sur le Groupe Facebook ISD – The office !

La FEPEM est l’organisation socioprofessionnelle représentative des particuliers employeurs qui contribue à structurer le secteur de l’emploi à domicile entre particuliers depuis 70 ans.

Rocxy Mongbo s’interrogeait nomment sur « COMMENT MAXIMISER LA MISE EN VALEUR DE SON PARCOURS PAR RAPPORT A L OFFRE ET MONTRER SA MOTIVATION ?  »

Je lui ai suggérée l’approche suivante :

L’idée ici de montrer que l’on a bien COMPRIS ET INTEGRE TOUTES les facettes du poste ET de la SOCIETE FEPEM…

Elle pourra ainsi en avant dans son discours auprès du recruteur :

  • La RICHESSE ET LA COMPLEMENTARITE DES MISSIONS confiées : droit des affaires, droit social, Propriété intellectuelle (Nota : c’est assez rare de voir des postes qui combine les 3)
  • La forte dimension de COMMUNICATION du poste de juriste proposé (travaux sur les supports de communication nécessaires aux activités de communication et de conseil de la FEPEM en liaison étroite avec la Direction de la Communication et beaucoup de FORMATION à réaliser auprès des équipes). Cet aspect est peu commun et augmente encore l’intéret du poste car il correspond à un niveau supplementaire d’IMPLICATION pour un juriste (dimension de pédagogie): toute la palette des compétences du juriste peut ainsi s’exprimer : expert technique, business partner, communicant.
  • Et qui est en MIROIR de l’ADN de la société FEPEM qui se définit elle-même comme « une organisation atypique, qui se pose en modèle, RELATIONNELLE par essence » (Nota : extrait du rapport annuel de la société FEPEM qui a fait l’objet d’une recherche et d’une analyse par Rocxane)

2…et mettre en avant les qualités de son parcours personnel (académique et professionnel) qui peuvent répondre au poste proposé :

– Une DOMINANTE de formation et d’expériences en DROIT DES AFFAIRES (Master 2 Droit des Affaires à l’ISD, formation professionnalisante par excellence, 3 ans d’expérience en cabinets de droit des affaires via des stages ou CDD. Nota : il faut ici donner plusieurs exemples de dossiers concrets traités en droit des affaires qui sont en bonne adéquation avec les missions proposées au juriste en cours de recrutement à la FEPEM : exemple rédaction des statuts, rédaction de contrats)

– Des REFLEXES SOLIDES acquis par une formation académique et une pratique en cabinet du DROIT SOCIAL –Nota : idem donner quelques exemples concrets de dossiers traités en droit social : dossier de licenciement, de rédaction de rupture conventionnelle.

– Une BONNE CONNAISSANCE de la PROPRIETE INTELLECTUELLE via sa formation en droit des affaires et des MOOC suivis sur le sujet

Nota : Donner de la clarté au recruteur sur la gradation de ses compétences renforce la crédibilité de votre propos !

– UN EXCELLENT RELATIONNEL: Rocxane aime prendre la parole et est à l’aise dans l’exercice, elle a participé et animé de nombreuses réunions avec des clients lors de ses stages/CDD, elle a géré une petite equipe quand elle était employée de banque (Nota : elle sait donc être pédagogue), elle a participé à des concours d’éloquence, elle a travaillé dans des centres d’appels (Nota : elle a donc une bonne capacité d’écoute et de conseil)? ETC

– Une bonne maitrise des USAGES de la profession de juriste en terme de présentation, de diplomatie et de sens de la confidentialité (mettre en avant la FORMATION ISD sur ces sujets, et son passage au Ministère des Affaires Etrangères)

Rocxane, on croise les doigts !

Quoi qu’il arrive, ce travail préparatoire de mise en adéquation de vos compétences au poste visé finit toujours par payer. C’est une question d’entrainement !

2 mars 2021 – Lydia Zunino

Qu’est ce qui fait qu’une personne est choisie pour le poste et pas une autre ?

Pour moi, tout se joue ici

  1. Etre compétent !

Rassurez / Démontrez vos compétences :

Lors de votre entretien, mettez l’accent sur :

votre double formation universitaire « académique » ET professionnalisante (ISD) qui est une vraie RICHESSE et mettez l’accent

les matières de votre formation répondant aux spécialités du service juridique / cabinet que vous voulez intégrer et sur votre bonne intégration des usages/codes/éthique de la profession

Énoncez CLAIREMENT à votre recruteur :

CE QUE VOUS CHERCHEZ chez lui (exemple: poursuivre votre professionnalisation en droit fiscal des affaires, se former sur telle ou telle type de problématique (ex: prix de transfert), évoluer dans une petite structure avec plus d’interactions avec les partners, etc) ET

ce que vous pouvez LUI APPORTER CONCRETEMENT (ex : votre expertise technique en fiscalité personnelle et des entreprises gràce à deux stages en cabinets qui avaient une clientèle variée, votre compétence en gestion de projet, votre temps, votre motivation, etc)

  1. Etre sympathique et ouvert

N’oubliez jamais que l’on a TOUJOURS plus envie de travailler avec quelqu’un de sympathique et d’ouvert !

Répondez précisément et honnêtement aux questions posées par le recruteur et poser lui des questions. Adopter cette attitude d’échange vous place en position de « DIALOGUE » bien plus enrichissante des deux côtés qu’un simple rapport figé « recruté/recruteur »

  1. Etre /apparaître comme une OPPORTUNITÉ pour votre recruteur !!

– Montrer que vous avez COMPRIS leur cœur de métier et leurs grandes problématiques (cf post précedent sur la recherche d’informations sur votre cible) et démontrer par des exemples concrets comment votre parcours répond à leurs besoins

(ex: vous postulez pour un poste juriste droit des affaires généraliste pour lequel il y a un volet RGPD. Mettez par exemple en avant le fait que vous suivi le MOOC de la CNIL sur le sujet, qu’il y a un module RGPD à l’ISD, que vous avez rédigé une politique de confidentialité à l’ISD, etc. Vous avez vu dans l’actualité que le cabinet avait accompagné un client sur la signature d’un contrat de distribution, mettez en avant que vous avez eu un atelier de rédaction de contrat de distribution, etc).

C’est ce qui s’appelle « SE PLACER EN MIROIR’

– Mettez en avant votre capacité à être autonome et « débrouillard » et votre état d’esprit « apporteur de solutions » : une vraie fonction support avec un grand S… avec des exemples concrets issus de votre formation ou votre expérience professionnelle.

C’est ce type de profil qui est le plus recherché !

26 fevrier 2021 – Lydia Zunino

L’importance de bien développer ses réponses aux questions posées en entretien

 

  • A EVITER ABSOLUMENT EN ENTRETIEN :

– Faire des réponses courtes non argumentées et se dire « Je limite la casse je donne le moins d’informations possible »

– Apprendre par cœur pour « faire bien » ! Attention cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas préparer son entretien

Pourquoi est ce essentiel de bien répondre ?

– C’est lié à votre positionnement en entretien : l’entretien d’embauche n’est plus un rapport « maitre/Elève », c’est une rencontre d’un professionnel junior et d’un professionnel plus senior. Il n’y a pas de « bonnes » ou « mauvaises » réponses… il n’ y a qu’une offre d’emploi à laquelle vous répondez avec vos armes (formation, parcours pro,parcours de vie)

– Donc cela implique pour vous de développer vos réponses en mettant en avant de manière convaincante votre adéquation avec le poste proposé.

Il ne faut surtout pas apprendre par cœur vos réponses car :

– cela se sent tout de suite (n’oubliez pas que la personne en face de vous est très habituée à faire passer des entretiens) et

– cela empêche toute authenticité et donc empêche la confiance de s’installer entre le recruteur et vous !

Comment développer ses réponses en entretien ?

– Pour les questions professionnelles ( c’est-à-dire les questions liées à votre parcours)

Ces questions permettent au recruteur de vérifier que vous avez les bonnes compétences au travers de vos differentes expériences et qu’elles correspondent à ce qu’il attend du poste. Donc faites bien attention à ce qui vous est demandé de développer. Tenez bien compte du poste, du contexte et des attendus, ayant en tête l’annonce d’emploi. A chaque fois que le recruteur va vous poser une question sur une de vos expériences, quand vous allez la détailler dites-lui ce qui va être IMPORTANT POUR LUI (ET NON POUR VOUS ) !

Ex : un poste ou il y a beaucoup de procédures à rédiger.

Même si ce n’est pas votre mission préférée et que ce n’est pas celle que vous avez eu l’occasion de faire le plus dans le passé, développez toutes les expériences ou vous avez eu l’occasion de le faire ou ? dans le cas ou vous n’avez vraiment pas d’expériences particulières à développer, développez alors les qualités rédactionnelles et de rigueur (nota : indispensables pour rédiger des procédures) que vous avez acquises dans le cadre de votre formation chez xx et XXX ET dans le cadre de vos expériences chez xx et xx (même si ces expériences ne sont pas en rapport direct avec le droit).

– Pour les « questions pièges »

Ex : Qu’est ce qui fait que l’on se souvient de vous ? Quel est votre plus grand échec ? Quel est votre plus grand défaut ? Si demain vous commencez, quelle serait votre premiere action ? Que disent de vous les gens qui vous rencontrent ? etc

Nota : Ne vous dites pas forcément que le recruteur veut vous piéger. Vous pouvez parfois les voir comme « piège » car elles sortent du cadre de ce que vous attendez, elles sortent de vos missions et elles peuvent vous mettre en difficultés et vous destabilisez.

A nouveau, il n’y a pas de bonnes réponses. Ce qui va intéresser le recruteur ce n’est pas la réponse, c’est le développement de la réponse

Ex: Si vous étiez un plat de cuisine, quel plat seriez vous ?

Ne pas montrer au recruteur que sa question est débile, même si elle l’est.

Le recruteur sait ce qu’il fait, si vous lui signalez ou lui faites comprendre que sa question est débile, vous rompez la relation de partenariat qui est en train de se créer.

Dites vous : « je répond en mode reflexe et je développe en fonction des attentes du poste »

Exemple : « Quel animal aimeriez vous être ? »

Réponse : « Le chat »

Ne dites pas seulement le chat. Développer pour éviter tout apriori du recruteur autour du chat.

Dites par exemple « Le chat car le chat observe avant d’agir, car c’est un animal qui quand il tombe retombe toujours »

–> Faites passer dans votre réponse des images qui peuvent se transposer dans le milieu professionnel !

1er juin 2021 – Lydia Zunino

Que faire suite à un refus ? 

On vient de vous notifier par mail un refus suite à un entretien….

Gardez en tête les éléments suivants :

Ce n’est pas personnel !

Pas d’inquiétude, il y aura d’autres opportunités, ce n’est qu’une question de TEMPS, de BONNE PREPARATION et de RENCONTRE !

A chaque fois que vous passez un entretien, vous rodez votre discours, vous apprenez de vos erreurs : vous vous AMELIOREZ et vous gagnez en IMPACT !

Décrocher un poste ne dépend pas QUE de votre prestation en entretien, cela dépend du nombre de candidats en lice, des prestations des autres candidats, des besoins clés du recruteur, des choix personnels de l’équipe de recrutement, des aléas économiques que subissent l’entreprise (qui peuvent changer la nature du poste ou différer le recrutement), etc.

BREF Restez focus sur ce que vous pouvez maîtriser, à savoir votre prestation en entretien, le reste ne dépend pas de vous, ça ne sert à rien d’essayer de le contrôler.

6 mai 2021 – Lydia Zunino

Préparer son entretien d’embauche : l’importance d’aller sur Linkedin pour connaitre son futur employeur !

 

Beaucoup d’entre vous m’indiquent hésiter à aller sur le profil Linkedin des personnes qui vont les recevoir en entretien.

Il n’y a aucune gêne ou inquiétude à avoir sur ce sujet. Aller consulter le profil Linkedin de votre recruteur est même un ATTENDU lors d’un process de recrutement !

Cela ne fait pas « fayot » comme j’ai pu parfois l’entendre.

Cela fait tout simplement partie de la préparation classique d’un entretien d’embauche, et vous permettra de connaître :

– le titre exact de votre recruteur, son expertise (RH (interne ou cabinet de recrutement)? juridique ? si juridique, quelle spécialité ? junior, senior ?), et comment elle se présente (c’est à dire sa façon bien spécifique d’aborder son métier)

– depuis combien de temps cette personne est dans le groupe pour lequel vous passez un entretien

– son parcours professionnel

– d’éventuelles connections avec d’autres personnes que vous connaissez

On ne vous le reprochera jamais, bien au contraire !!

Cela prouve que vous êtes curieux et rigoureux et que vous avez préparé votre entretien.

Et évidemment, si une inquiétude persistait, vous pouvez toujours modifier vos paramètres de confidentialité de Linkedin pour naviguer « en mode privé ». Ainsi, votre recruteur ne saura pas que vous avez consulté son profil.

A bon entendeur !

29 mars 2021 – Lydia Zunino

Préparer son entretien d’embauche efficacement

Prendre le temps de s’informer et de bien connaitre la société pour laquelle vous passez l’entretien est clé pour être impactant.

3 bénéfices de cette démarche :

cela vous donnera des éléments de réassurance sur l’intérêt de la société, du poste et son adéquation avec vos souhaits et donc augmentera votre motivation,

cela démontrera votre rigueur, compétence clé requise pour tout collaborateur, et a fortiori pour un juriste !

cela enrichira et rendra plus pertinent le dialogue avec le recruteur en entretien.

Comment faire ?

  1. S’informer sur la Société/ le cabinet et son positionnement

Vous devez connaître le secteur d’activité, les chiffres clés, les valeurs, la gouvernance, l’actualité de la société pour laquelle vous passez l’entretien.

Cela passe bien entendu par une visite du site internet de la société, mais un bon moyen pour avoir rapidement et à un seul endroit la vue d’ensemble sur la société est de télécharger sur son site :

– le rapport intégré, rapport annuel, ou rapport d’activité de la société/cabinet : vous y trouverez un condensé clair et pédagogique de l’ensemble de ces informations dans un document unique.

et

– les derniers communiqués de presse.

2 situations :

Le recruteur vous pose directement la question : « Que savez-vous de nous ? » et vous répondez sur la base de votre mémorisation des informations indiquées ci-dessus.

Le recruteur ne vous pose pas directement la question et présente de lui-même la société : il est judicieux d’arriver à replacer intelligemment votre connaissance des informations clés et de l’actualité de la société pendant la conversation avec le recruteur

  1. Connaitre sa présence sur les réseaux sociaux

Googliser la société/ le cabinet et voir si elle/il apparaît dans l’actualité sur les derniers mois

Vérifier également sa présence sur Linkedin / Twitter / Instagram

  1. Connaissez vos interlocuteurs

Googliser vos interlocuteurs et chercher les sur Linkedin pour connaitre leurs spécialités (RH, juridique, etc), leur niveau de séniorité et les relations (hiérarchiques) qu’ils peuvent avoir entre eux

Linkedin est également l’occasion de connaître leurs parcours et voir s’ils sont actifs sur certains sujets juridiques (via leurs posts ou leurs commentaires sur d’autres posts). Ces informations pourront être pour vous le terreau d’échange qualitatif avec eux.

21 fevrier 2021 – Lydia Zunino

Les 10 questions les plus courantes pour préparer son entretien d’embauche

 

  1. Pouvez vous vous présenter ? / Que savez-vous de nous ?
  2. Qu’est-ce qui a suscité votre intérêt dans cette offre d’emploi ?
  3. Parlez-moi d’une situation où.. / Parlez moi d’une mission dont vous êtes fier / d’une situation difficile que vous avez rencontré dans le cadre professionnel et comment vous l’avez gérée ?
  4. Quelle est la critique la plus constructive qu’on a été amené à vous faire ?
  5. Qu’attendez-vous de votre manager ?
  6. Quels sont vos points forts ? vos axes d’amélioration ?
  7. Quels sont vos moteurs professionnels ? Où vous voyez-vous dans cinq ans ?
  8. Pourquoi devrions-nous vous embaucher ?
  9. Quels sont vos hobbies ?
  10. Avez-vous des questions ?

10 fevrier 2021 – Lydia Zunino